vendredi 25 septembre 2015

Donnez-moi mon Dieu ce qui vous reste


Dernier couplet de "La prière du Parachutiste", texte écrit par l'Aspirant de Parachutistes Français André ZIRNHELD des Forces Françaises Libres, abattu dans le désert de Cyrénaïque après un raid sur un aérodrome ennemi.

Nommé Compagnon de la Libération, l'Ordre de la Libération lui consacre une très belle page expliquant son parcours original : http://www.ordredelaliberation.fr/fr_compagnon/1036.html 

La prière qu'il avait écrite a été retrouvée sur son corps et est devenue celle des Parachutistes.

Une promotion d'élèves officiers de l’École Militaire Interarmes portant le nom de l'Aspirant ZIRNHELD a mis le texte en ligne:
http://promotion.zirnheld.free.fr/index2.htm (voir dans le menu à gauche "Pages ZIRNHELD") .

samedi 19 septembre 2015

La peur n’est pas signe de lâcheté.

Une citation en ligne se doit d'être courte.

La citation complète de Paulo COELHO implique quelques lignes de plus:
" Celui qui éprouve de la peur et va cependant de l'avant, sans se laisser intimider, fait preuve de courage.
Mais celui qui affronte des situations difficiles sans tenir compte du danger ne fait preuve que d'irresponsabilité".

C'est extrait de la page 59 du livre "Maktoub" (Mektoub en Arabe, veut dire "c'est écrit); un mot qui, parfois, fait peur.

Une citation à rapprocher de quelques passages du livre "Sous le feu" de Michel GOYA, qui lui relate la réalité de différents engagements au combat; avec - somme toute - bien des points communs...

mercredi 16 septembre 2015

Avertissement pour ceux qui travaillent aux mêmes endroits que moi

Bonjour, et merci de me lire.
Un certain nombre d'entre vous me font l'honneur de s'abonner à mon petit blog soit ici sur Blogger, soit sur Google+, et un nombre encore plus grand m'a donné son adresse pour recevoir chaque mois (ou presque, quand j'y arrive, car j'ai un métier...) l'InfoLettre du site www.codani.info.

Dans ce nombre figurent beaucoup de collaborateurs du même établissement, ce qui n'a rien d'extraordinaire puisque souvent je raconte un peu de notre vie.
Et un certain nombre d'entre vous "rayonne" en retransmettant ces écrits soit par messagerie professionnelle en interne soit par photocopies auprès de ce qui n'ont pas accès aux "autoroutes de l'information".

Cela part certainement d'un très bon sentiment, et je vous remercie de ces attentions; mais j'en ai été alerté récemment car cela pourrait être mal interprété.

J'écris librement et je tiens à cette liberté d'expression au point de souvent me censurer moi-même avec l'aide d'un ami Avocat chez qui je suis domicilié, car nous savons que toutes les vérités ne sont pas bonnes à dire, et encore moins à écrire.
Mais même en procédant ainsi, il y a de grands démocrates que cela peut indisposer...

Il y a surtout des règles sur la communication durant le travail et avec les moyens de travail.
La charte informatique, pièce annexe du règlement intérieur, n'est pas destinée à caler le pied bancal d'un meuble de bureau, mais à être lue et appliquée.

En retransmettant un de mes messages, en dehors du très petit nombre de messages frappés du signe "PERSONNEL" que nous sommes autorisés à utiliser, vous risquez de vous placer en infraction.
En photocopiant sur un copieur de bureau un article pour des collègues il en est de même.
Vous avez dû noter que pratiquement aucun message de ma part ne vous arrive durant les jours et heures de service ? C'est qu'au travail... Je travaille, précisément ! Ou alors c'est un jour de congé.

Merci pour ces retransmissions, mais ne vous exposez pas inutilement à des sanctions. Donnez plutôt à ceux qui souhaitent me lire dans la maison mon adresse de messagerie privée. Un message suffit.

Il n'y a aucun mal à recevoir et lire un message de ma part. C'est normal.
C'est retransmettre, "faire la chaine" ou photocopier avec du matériel de bureau qui est à éviter.
Vous avez le droit de vous abonner, ici ou sur Google+, vous pouvez même le faire de façon anonyme, mais évitez de donner prise à une critique interne qui vous ennuierait.

La liberté d'expression ne s'use que quand on ne s'en sert pas. Servez-vous en, mais en sachant que "Big Brother" ou plus malicieusement "Big Other" vous observe. Ce n'est pas réservé aux grands criminels internationaux. La mesquinerie, comme son nom l'indique peut descendre très bas...

Soyez plus grands que "Big Other", esquivez-le, contournez-le. Souriez-lui, "n'ayez pas peur".
C'est dans un épisode de "Star Wars" qu'un des officiers de l'Empire dit "La peur, c'est ce qui bâillonnera les systèmes séditieux". Ce n'est hélas pas faux, mais ça marche dans les deux sens.

Merci pour la force que vous me donnez, et qui me permet de continuer au quotidien. 
J'espère vous en rendre autant que nécessaire pour votre vie à vous, que je connais, même si je suis plus souvent dans nos rues que dans nos couloirs.

Bientôt huit heures, je vais y aller, en vous souhaitant une excellente journée.
Surtout vous qui êtes là où je suis, avec qui je construis chaque jour, dans les épreuves du quotidien.
Merci encore. A tous, tous ensemble.
Bien cordialement,
Didier CODANI

samedi 12 septembre 2015

Si celui qui commande nous aide à accomplir ce qu'il commande

Pour finir la journée des associations, en l'honneur de tous ceux qui président aux destinées d'un groupe humain; et qui connaissent d'instinct cette vérité, venue d'un Saint du VIe siècle...

mercredi 9 septembre 2015

Euclide fonda la géométrie

En milieu de semaine...
En mémoire d'un homme simple qui à 18 ans préférait la Légion Étrangère aux théorèmes, et qu'il va falloir enterrer demain, à 49 ans.
Pour se souvenir de son rire tonitruant, de bonne heure et toujours de bonne humeur.
Pour soutenir ses amis dans la peine; qui ont même payé de leur poche ses obsèques ! ! !
Pour ceux qui viendront, ceux qui ne pourront pas venir, ceux qui n'ont même pas le courage de lire le faire-part ou d'y répondre.
Ceux-là sont à plaindre, car ils sont en train de rater leur vie.
Et par Saint Antoine...

jeudi 3 septembre 2015

Je vous ai entendus, ennemis de la République...

Il y a plus d'un an que je n'avais cité Abou DJAFFAR. Le bien vivant, et pas le comptable mort...
10 mars 2014 pour ceux qui se donneront la peine de chercher. C'était - déjà - une belle phrase.

Celle-ci est peut-être une des meilleures répliques qu'un homme d'Etat pourrait lancer à ceux qui nous agacent collectivement en 2015, rien que par les analyses creuses que l'on leur consacre en vain.
Ces "terroristes", au demeurant pas bien fameux, qui font frissonner l'intelligentsia ou prétendue telle.

Vous trouverez le texte d'où je tire la citation présente à cette adresse:

Je vous recommande la lecture de la totalité. Mais pour les plus pressé(e)s d'entre vous, les deux derniers paragraphes sont sans doute les plus riches d'enseignements.

N'hésitez pas à dire s'ils vous plaisent. Vous pouvez m'en parler, car je les partage. Avec vous.